[7]

Avant-propos

La Montérégie, une division administrative relativement récente, regroupe des régions naturelles et historiques qui ont joué un rôle déterminant dans l’évolution du Québec. C’est en vertu du projet des Histoires régionales de l’institut national de la recherche scientifique (INRS) que la réalisation de l’Histoire du Richelieu— Yamaska—Rive-Sud, une des trois histoires de la région de la Montérégie, a débuté en 1993.

Un comité directeur régional composé de différents intervenants fut mis sur pied à l’été 1993. Le travail de ce comité réunissant des représentants de l’INRS, d’institutions et d’organismes de la région a permis de recueillir les fonds nécessaires à la réalisation des histoires de la Montérégie. Il convient de souligner, en particulier, le travail des principaux responsables de ce comité, en l’occurrence Yves Sanssouci, directeur général du Collège Edouard-Montpetit, qui a présidé le Comité directeur, Mande Céré, directrice générale du Conseil montérégien de la culture et des communications, qui a occupé la vice-présidence de ce comité, Dianne Monastesse, coordonnatrice administrative du comité, de même que Georges Lamy, conseiller au développement à l’INRS.

Une partie de la recherche scientifique nécessaire au projet sur l’histoire du Richelieu—Yamaska—Rive-Sud a été commune aux synthèses sur le Haut-Saint-Laurent et sur le Piémont-des-Appalaches. Il convient de souligner ici le labeur de Jean-Charles Fortin, qui a coordonné la collecte de documents et la compilation de différentes données statistiques ainsi que le travail des quatre assistants de recherche  : à Yannick Doiron, nous devons l’indexation informatisée du Courrier de Saint-Hyacinthe et des documents parlementaires, tandis que Manon Lagassé et Patrick Martin ont procédé au dépouillement du Courrier de Saint-Hyacinthe et ont dressé un inventaire détaillé des archives iconographiques anciennes de la région. Enfin, Pauline Gill a procédé à des recherches sur des sujets spécifiques. Cette recherche était indispensable à l’équipe de chercheurs-rédacteurs, laquelle a pu aussi bénéficier des travaux de nombreux auteurs dont les monographies et les études ont décrit des villes et villages ou des phénomènes économiques et sociaux de la région.

[8]

Cette recherche a pu aussi bénéficier du soutien de nombreux organismes tel le Centre des ressources didactiques du Collège Édouard-Montpetit et de la collaboration de Michael Lyons et Claude Cinq-Mars, du Département de géologie de cet établissement. Elle a profité également des ressources archivistiques et des travaux déposés dans les bibliothèques de l’Université de Montréal et de l’Université du Québec à Montréal.

L’équipe de chercheurs de l’Histoire du Richelieu—Yamaska—Rive-Sud a aussi tiré profit des travaux et les ressources archivistiques de nombreux organismes, tels le Centre d’archives du Séminaire de Saint-Hyacinthe et de la Société d’histoire régionale de Saint-Hyacinthe, la Société d’histoire de Beloeil-Mont-Saint-Hilaire, la Société historique de la Prairie de la Magdeleine de La Prairie, la Société d’histoire du Marigot de Longueuil, la Société d’histoire de la seigneurie de Chambly, la Société d’histoire de Longueuil, le Centre d’interprétation sur les canaux du Québec de Parcs Canada, à Chambly, la Commission scolaire Marie-Victorin, la Société historique Pierre-de-Saurel de Sorel, le Cégep de Sorel-Tracy, la Société d’histoire du Haut-Richelieu de Saint-Jean, la Société d’histoire de la vallée du Richelieu, la Société d’histoire Mouillepied de Saint-Lambert, la Société d’histoire des îles Percées de Boucherville, la Société d’histoire de Saint-Hubert, la Société historique et culturelle de Saint-Antoine-sur-Richelieu, les Archives nationales du Québec à Montréal, les Archives nationales du Québec à Québec, les Archives nationales du Canada, le Musée McCord d’histoire canadienne de Montréal, l’Agence spatiale canadienne, l’Association canadienne d’histoire ferroviaire de Saint-Constant, l’Orchestre symphonique de la Montérégie (OSMONT), la Bibliothèque nationale du Québec, le ministère de la Culture et des Communications, la MRC de Champlain.

Enfin, l’Histoire du Richelieu— Yamaska—Rive-Sud résulte de l’assistance et de la compétence de trop nombreuses personnes pour pouvoir en dresser ici la liste exhaustive. À tous, nous adressons nos remerciements sincères tout en soulignant de façon particulière la collaboration de Jean Carrière et de Patrice Pitre, du Laboratoire de cartographie du Département de géographie de l’UQAM, qui ont préparé les cartes de ce volume, et celle de Robert Lagassé qui a mené à terme le dossier iconographique. Soulignons aussi la collaboration de ceux et celles qui ont commenté les différents chapitres, révisé l’ensemble du manuscrit et préparé la mise en forme de ce volume de la collection « Les régions du Québec ».

Normand Perron INRS
Responsable des Histoires régionales