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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Histoire de l'Outaouais. (1994)
Avant-propos


Une édition électronique réalisée à partir du livre sous la direction de Chad Garfield, Histoire de l'Outaouais. Traduction des textes anglais par Robert Paré. Québec: Institut québécois de recherche sur la culture [IQRC], 1994, 879 pp. Collection “Les régions du Québec, no 6.” Collection dirigée par Normand Perron. [Autorisation accordée par la directrice des Presses de l'Université Laval, Mme Marie-Hélène Boucher, en juillet 2024.]

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Histoire de l'Outaouais.

Avant-propos

Plusieurs personnes et institutions ont, de différentes façons, collaboré à la recherche, à la rédaction et à la publication de ce volume. Les auteurs leur en sont grandement reconnaissants.

Au milieu des années 1980, Fernand Harvey, alors directeur du chantier des histoires régionales à l’institut québécois de recherche sur la culture, commence à envisager, avec divers intervenants régionaux tels Pierre-Louis Lapointe, Jean-Pierre Charland, Jean-Louis Grosmaire et Nicole Patry, la possibilité d’écrire l’histoire de l’Outaouais. Le projet est officiellement lancé en 1987. Chad Gaffîeld est alors désigné comme chercheur principal, responsable d’une équipe qui réunit tous les auteurs de cet ouvrage. Au cours de la période de recherche, les auteurs ont pu profiter des connaissances et des vues originales de Fernand Harvey sur la théorie et la méthodologie de l’histoire régionale. Plus récemment, Normand Perron et Andrée Raiche-Dussault, de l’équipe des histoires régionales à l’institut québécois de recherche sur la culture, ont pris la relève et habilement mené à terme le projet. La traduction de l’introduction, des chapitres 5, 6, 7, 12, 15, 19 et de la conclusion a été réalisée par Robert Paré. Quant au service des publications, composé de Véronique Morin et de Mariette Montambault sous la direction de Léo Jacques, il a, par sa compétence et sa méticulosité, voulu produire ce volume selon les plus hauts standards de qualité en édition.

Le comité directeur, présidé par Jacques Plamondon alors recteur de l’Université du Québec à Hull, a soutenu efficacement et avec enthousiasme l’équipe de chercheurs durant toute la durée du projet. Nous voulons exprimer toute notre reconnaissance aux membres de ce comité composé de Nicole Patry du Conseil régional de la culture de l’Outaouais, d’Alain Lafrenière de la Commission de la capitale nationale, de Laurence Kolesar du Heritage College et de Georges Lamy de l’institut québécois de recherche sur la culture. Au tout début, ce comité a aussi pu compter sur la collaboration d’Avila Labelle, de Pierre-Louis Lapointe et de Luc Villemaire. Peu de temps après, Émile Demers, du Collège de l’Outaouais, et Guy Morissette, qui deviendra un chef de file infatigable de la campagne de financement, se joignent au comité. Sans les initiatives et le dévouement de Nicole Patry, de Guy Morissette, de Jacques Plamondon et de Georges Lamy, ce projet n’aurait jamais pu être mené à terme. La contribution substantielle apportée par la Commission de la capitale nationale, grâce au leadership d’Alain Lafrenière, a aidé à défrayer une bonne partie des coûts de traduction et elle permettra d’assurer la publication de la version anglaise du présent volume. Que tous les membres du comité directeur et tous les souscripteurs de la campagne régionale de financement, dont les noms apparaissent à la fin du volume, trouvent ici l’expression sincère de notre appréciation de leur générosité.

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Le projet a également pu compter sur la contribution des principales institutions scolaires de la région. La participation de l’Université du Québec à Hull, par l’intermédiaire de Jacques Plamondon et de Jean Langellé, s’est traduite par son apport financier et par le prêt de locaux aux chercheurs. Les auteurs veulent également exprimer leur gratitude au Heritage College et au Collège de l’Outaouais, plus spécialement à Bernard Bélanger et à Stéphane-Albert Boulais. Ils veulent aussi souligner l’apport de l’Université d’Ottawa, en particulier à Marcel Hamelin, ancien doyen de la Faculté des Arts et maintenant recteur, qui a généreusement supporté le projet et dont la contribution importante a permis d’assurer une partie de la traduction du volume. Les doyens, principalement Carlos Bazan et Henry Edwards, se sont intéressés activement au projet, tout comme l’ont fait les Archives, sous la direction de Michel Prévost, et le Centre de recherche sur la civilisation canadienne-française, avec Yolande Grisé.

Notre recherche a pu bénéficier du soutien de nombreux organismes, représentés par différentes personnes : le Conseil régional de la culture de l’Outaouais, spécialement Nicole Patry qui a assumé la direction administrative du projet ; les Archives nationales du Québec en Outaouais, en particulier Hélène Cadieux et Luc Brazeau qui ont généreusement mis leur temps à notre disposition et nous ont fait profiter de leurs compétences ; la direction régionale du ministère de la Culture (Corneliu Kirjan et Gisèle Beauvais) ; le ministère de l’Éducation (Jacques Desrosiers, directeur régional adjoint) ; la Société d’aménagement de l’Outaouais (Alain Deschâtelets) ; la Régie régionale de la santé et des services sociaux (Claude Bariault) ; le Département de santé communautaire de l’Outaouais (Normand Trempe) ; les Kitigan Zibi Health Services ; le Conseil régional des loisirs de l’Outaouais (Jean-Marc Purenne) et le Conseil régional de développement de l’Outaouais (Gilles Gagné).

Pierre Dubé et Denis Drevers, de la Commission de la capitale nationale, nous ont encouragés tout comme l’ont fait Roger Marois et Geneviève Eustache du Musée canadien des civilisations. De son côté, Thiery Ruddell, du Musée canadien de la science et de la technologie, nous a fait partager ses connaissances et nous a facilité l’accès au matériel de recherche. Le financement du projet a pu profiter de l’aide du Secrétariat d’État, alors que Travail Canada, grâce à Bernard Fortin, a permis de rendre certaines tâches plus faciles.

Notre reconnaissance s’adresse également aux Archives du diocèse de Gatineau—Hull, plus particulièrement à monseigneur Roger Ébacher, archevêque métropolitain, et à sœur Antoinette Beaulieu, sœur du Sacré-Coeur d’Ottawa ; à la Centrale de l’enseignement du Québec, à la Confédération des syndicats nationaux et à la Fédération des travailleurs du Québec ; aux avocats Nahwegahbow, Jones et Hawken, plus spécialement à Shellene Pauli, et au journal Le Droit, entre autres à Claude-Sylvie Lemery.

Cette recherche résulte de l’effort et de la collaboration de nombreuses personnes dont le dévouement et la compétence ont permis de mieux comprendre certains aspects de la région. Les auteurs veulent tout particulièrement souligner les diverses collaborations d’André LaRose, alors à l’emploi de l'Institut québécois de [9] recherche sur la culture, qui a joué un rôle de premier plan au début du projet en participant à la recherche et à la rédaction de rapports portant surtout sur les XVIIe et XVIIIe siècles et sur la religion. Dans les premières années du projet, Odette Vincent-Domey, Gérald Pelletier et André Cellard ont travaillé à plein temps comme chercheurs et ils ont jeté les bases des activités subséquentes. Les auteurs désirent remercier bien sincèrement l’assistant de recherche Benoît Thériault dont les nombreuses connaissances lui ont permis de jouer un rôle clé dans la préparation de plusieurs chapitres. Le dossier cartographique a été réalisé sous la direction de Clément Lord, du Collège de l’Outaouais. A aussi collaboré à ce dossier Claude Chamberland, du Laboratoire de cartographie de l’Université du Québec à Chicoutimi. En outre, notre équipe a pu compter sur les collaborations, mineures ou majeures, de nombreuses personnes, dont Christophe Bondy, John Bonnett, Didier Cencig, Karl Comete, Carole Deschamps, Adèle Dufour, Éric Giguère, Joanne Frégault, Pam Gaffield, Phillippe Garvie, Alain Gaulin, Chris Heick, Lorne Hammond, Murielle Laberge, Stuart Manson, Colette Michaud, Ed Montigny, Sylvie Paquette, Line Proulx, Paule Robitaille, André Routhier, Jean Sauvageau, Kathy Thompson et Cheryl Tod.

Plusieurs autres personnes ont généreusement mis leur compétence à notre service au cours de la période de recherche ou de rédaction. Joanne Burgess est devenue une ressource clé de l’équipe de recherche, nous ayant fait partager ses connaissances sur les transports en produisant des rapports importants qui ont guidé notre analyse de ce thème central tout au long du volume. De son côté, Pierre Savard a éclairé plusieurs aspects de notre travail, plus particulièrement sur la religion et la culture dans l’Outaouais. Nous avons également pu profiter des conseils et de l’encouragement de Claude Baribeau, Line Beauchesne, Marc de Caraffe, Armand Cellard, Claude Chapdelaine, Cécile Coderre, Denyse Côté, André Couture, Russell Daibo, Laurent de Combregge, Bruce Elliott, Robert Fontaine, Anne Gilbert, Camil Girard, Gérard Guay, René Hardy, Chantal Ippersiel, Mathilde Isabel, Cornélius Jaenen, Brigitte Jacques, Nancy Kirjan, Claudette Lacelle, Yvan Lamonde, André Langlois, Pierre Lanthier, Guy Laperrière, Jacques Laplante, Emmanuel Marcotte, Roger Matois, Franco Materazzi, Daniel Mercure, Marvin Mclnnis, Michael Newton, Enoch Padolsky, Alvaro Pirès, Richard Reid, Normand Séguin, Sylvain Simard, Robert Sweeny, Marc Vallières, Hubert Watelet, John Willis, l’abbé Marcel Wolfe et Brian Young.

Pour illustrer la couverture de ce volume, les artistes de la région ont été invités à soumettre des projets dans lesquels seraient présents les thèmes caractéristiques de l’histoire outaouaise. La peinture de la page couverture en est le résultat et nous remercions tous les artistes qui ont répondu à l’invitation. Nous tenons aussi à souligner les efforts remarquables de Nicole Patry, de Louise Mercier, d’Anne Francine Béland et de Caria Whiteside dans ce dossier. Un merci tout spécial et nos plus sincères félicitations s’adressent à Josée Dubeau qui a su traduire dans sa peinture la complexité, l’ambiguïté et la vitalité de l’histoire outaouaise.

Nous dédions ce livre à tous les résidants de l’Outaouais, en espérant qu’une meilleure compréhension du passé puisse contribuer à forger un avenir sécurisant.



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le samedi 28 septembre 2024 11:36
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
 



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